Les français ont appris lundi les liens d’intérêt du Commissaire Delevoye avec le monde de l’assurance. Une simple erreur, rectifiée le jour même de la révélation par son auteur qui estime avoir un commis un oubli par omission, les experts apprécieront la formule.
Ce dernier se targue pourtant de porter une réforme des retraites qui assure la pérennité du système par répartition.
En réalité nous savons qu’il n’en est rien. La réception en grandes pompes et en secret de la société américaine Blackrock à L’Élysée ces derniers temps à achevé de nous renseigner sur les véritables desseins du gouvernement et du Président : servir les intérêts de la finance et de l’assurance privée en facilitant la capitalisation par la baisse drastique des pensions.
Delevoye est par ailleurs un faussaire du dialogue social à l’image de son gouvernement. Il avait promis en 2003 une amélioration des retraites aux agriculteurs, là encore des promesses sans lendemain.
La seule solution pour arrêter ce funeste projet gouvernemental est de se mobiliser en grève et manifestation aujourd’hui dans toute la France.