La GRS et la FI font réunion commune et participative à Bouffémont !

Le mercredi 10 avril denier les citoyens, sympathisants et militants du département ont pu écouter et échanger avec Emmanuel Maurel, Sergio Coronado et Caroline Fiat autour des élections européennes. L’échéance du 26 mai se rapproche et la campagne entre dans le dur des programmes et de la confrontation des projets. La réunion fut co-animée par Jean-François Pin de la FI, Adélaïde Piazzi et Sébastien Lombard pour la Gauche Républicaine et Socialiste.

La soirée a commencé par un mot d’accueil chaleureux et républicain du Maire Claude Robert de son premier adjoint Michel Lacoux. Ensuite les thèmes abordés furent l’écologie, la souveraineté populaire et les services publics de santé. Le format participatif a permis au près de 70 participants de se faire une idée plus précise de l’importance d’envoyer le mois prochain des eurodéputés de combats. Emmanuel Maurel a rappelé que nous sommes les héritiers du NON de mai 2005 et que nous voulons rétablir les exigences démocratiques du peuple français bafouées après l’adoption du traite de Lisbonne.

Notre animateur national et eurodéputé a également rappelé l’importance de la lutte contre l’évasion fiscale et de la rupture avec les traités de libre échange pour restaurer une souveraineté des peuples dès maintenant. L’occasion de rappeler aussi  que l' »on peut avoir dans notre entourage des gens tentés par le vote Le Pen mais ce qu’il faut savoir c’est que les alliés de Madame Le Pen c’est les néo nazis allemands, les néo fascistes italiens, les nationalistes autrichiens, les gens d’Hongrie qui sont encore plus à droite qu’Orban parce qu’ils trouvent qu’Orban est modéré » Sergio Coronado a expliqué notre lutte déterminée à l’échelle européenne et internationale contre le dérèglement climatique et Caroline Fiat d’insister sur notre action implacable contre les lobbys pour protéger la santé publique à l’échelle européenne.

La réunion s’est terminée par un pot convivial avec une force plus grande encore pour mener campagne ces prochaines semaines sur le terrain et dire stop à l’Europe de Macron.

Comptes-rendus de mandat d’Emmanuel Maurel et Younous Omargee à Paris

Un franc succès pour les comptes-rendus d’Emmanuel Maurel et de Younous Omargee, députés européens à la maison des cultures arméniennes à Paris.
Une salle comble pour écouter, discuter des combats menés et à mener pour une Europe solidaire qui respecte les processus démocratiques des peuples souverains.
Une Europe qui défend les intérêts des européens et non des multinationales. Une Europe qui met en pratique ses valeurs humanistes et qui rompt avec ses principes libéraux, libre-échangistes et atlantistes.

Une Europe réelle et en actes et non une Europe fantasmée et de l’illusion. Une Europe qui ne soit pas une religion de la marchandisation mais qui soit le fer de lance de la coopération des peuples.

Réunion publique pour les élections européennes dans les Landes (40) sur la question de la malbouffe et de l’agriculture productiviste

Ce samedi 30 mars avait lieu à Saint Vincent de Tyrosse une soirée politique dans le cadre de la campagne européenne sur la thématique de la Malbouffe et de l’agriculture productiviste.

Pas de grand discours ni de solutions toutes faites, mais une organisation en atelier de 5 à 6 personnes, réfléchissant ensemble à la définition de la problématique et à l’ébauche de solutions, puis un exposé des risques, de la puissance agro-industrielle et de son influence dans le quotidien des gens par Magalie Waetcher, candidate sur la liste de la France Insoumise pour les élections européennes, et des combats au parlement français par le député Loïc Prudhommes.

Chaque table a ensuite exposé ses solutions et le débat entre les citoyens le député et la candidate a eu lieu. Un constat, les solutions existent et elles sont souvent mises à mal par le manque de courage politique, ou l’absence de vision. Dans le cadre de cette élection européenne, un commando de combat doit voir le jour, pour s’opposer aux lobbys surpuissants, pour informer les citoyens des aberrations des traités qui ne protègent pas les peuples mais juste les acteurs de la finance, et pour préparer à la désobéissance, aujourd’hui seul choix politique pour changer d’Europe.

Anthony Gratacos, candidat GRS aux élections européennes

La Gauche républicaine et socialiste participe à la dynamique de la France insoumise dans son combat pour l’écologie populaire et la souveraineté républicaine, contre l’extrême droite et l’idéologie libérale. 4 candidats de la GRS aux européennes sont présents sur la liste France insoumise pour renforcer son action partout dans le pays : aujourd’hui nous vous présentons Anthony Gratacos.

Qui es-tu ? 

Anthony Gratacos, Moussy-le-Neuf, 33 ans, marié, 2 enfants mais bientôt 3. Né à Meaux, je suis conseiller municipal d’opposition dans l’un de ces territoires péri-urbain qui subissent de plein fouet les conséquences du désengagement de la puissance publique et les mutations de notre économie.

Comment a commencé ton engagement ?

Mon premier combat politique, je le mène en 2002 suite à l’élection présidentielle, contre l’extrême droite. De nombreuses autres mobilisations suivirent (CPE, autonomie des universités, …). En 2016, c’est contre la casse du code du travail que je me suis battu en animant un groupe de chefs d’entreprise contre la loi travail. Patron d’une entreprise de 21 salarié·e·s implantée sur la plateforme aéroportuaire de Roissy, je suis convaincu que le droit du travail, les cotisations sociales, etc. ne sont pas un frein à l’activité mais un garde fou qui protège nos entreprises, les salarié·e·s et l’économie. C’est sur ces sujets mais aussi sur les questions fiscales que je souhaite m’impliquer lors de la campagne.

Quel est le combat que tu portes ou que tu souhaites mener ? 

Militant socialiste depuis 2003, j’ai fait le choix il y a quelques mois de suivre Emmanuel Maurel dans sa démarche au sein de la GRS afin de construire, ensemble, le front populaire du XXième siècle.

Emmanuel Maurel, candidat GRS aux élections européennes

La Gauche républicaine et socialiste participe à la dynamique de la France insoumise dans son combat pour l’écologie populaire et la souveraineté républicaine, contre l’extrême droite et l’idéologie libérale. 4 candidats de la GRS aux européennes sont présents sur la liste France insoumise pour renforcer son action partout dans le pays : aujourd’hui nous vous présentons Emmanuel Maurel.

Qui es-tu ? 

Je suis né le 10 mai 1973 à Épinay-sur-Seine (93). Après des études de lettres modernes et d’histoire, je suis diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris. J’ai, par la suite, enseigné dans le supérieur et suis l’auteur d’un manuel de droit constitutionnel.

Comment a commencé ton engagement ?

Très tôt militant, je suis élu municipal de Persan (95) et vice-président de la Région Île-de-France en charge des affaires européennes et internationales puis en charge de l’apprentissage, de la formation professionnelle, de l’alternance et de l’emploi jusqu’en 2014.Biographe de Jean Poperen, Éditorialiste de l’hebdomadaire « La Corrèze républicaine et socialiste » et directeur de publication du mensuel politique et culturel « Parti pris », j’ai toujours appartenu à l’aile gauche du PS.

Quel est le combat que tu portes ou que tu souhaites mener ? 

Depuis 2014, je suis député européen, membre des commissions « commerce international » et « affaires économiques ». Après le scandale « Panama Papers », je participe également à la commission d’enquête sur l’évasion fiscale. Tout au long de mon mandat, je m’engage notamment contre les méga-accords commerciaux qui vont à l’encontre des intérêts des salarié·e·s, des consommateur·rice·s et du respect de la planète (TAFTA, CETA, JEFTA…). Je me mobilise également en faveur du protectionnisme solidaire, proposant des textes législatifs visant à défendre les salaires, les savoir-faire et les territoires menacés par les délocalisations et le dumping social. Enfin, je suis en première ligne dans le combat pour une fiscalité plus juste au moment où les multinationales comme McDonalds, Facebook, Google, etc. ne paient quasiment pas d’impôts dans les pays où ils réalisent des bénéfices. En octobre 2018, je quitte le Parti Socialiste afin de fonder l’APRES (Alternative pour un Programme Républicain, Écologiste et Socialiste). Au Parlement, je siège désormais au groupe de la Gauche unitaire européenne (GUE/NGL).

Elisabeth Jutel, candidate GRS aux élections européennes

La Gauche républicaine et socialiste participe à la dynamique de la France insoumise dans son combat pour l’écologie populaire et la souveraineté républicaine, contre l’extrême droite et l’idéologie libérale. 4 candidats de la GRS aux européennes sont présents sur la liste France insoumise pour renforcer son action partout dans le pays : aujourd’hui nous vous présentons Elisabeth Jutel.

Qui es-tu ? 

Née au printemps 1981, j’ai fait des études d’anglais et de linguistique à l’Université de Nantes et j’ai eu la chance de passer une année de Master à l’Université de Cardiff au Royaume-Uni grâce au programme Erasmus. Je suis née à la fois française et européenne et suis très préoccupée par ce qu’est devenue l’UE. Passionnée de pop culture et en particulier de chanson, je suis aujourd’hui parolière et chanteuse. Installée depuis 15 ans dans les Deux-Sèvres, j’ai un fils, et ne peux pas ne pas me battre pour que le monde, et notre pays soient encore vivables quand il aura mon âge.

Comment a commencé ton engagement ?

J’ai toujours été intéressée par les idées, la chose publique, par la politique au sens large. Je votais aux élections, mais ne me suis réellement engagée en politique que récemment, lors des municipales de 2014 pour lesquelles j’ai été sollicitée pour faire partie d’une liste. Avant cela, j’étais, et suis toujours, engagée dans plusieurs associations locales, sociales et de défense de l’environnement. Je suis actuellement conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine, siégeant dans la commission Transition Énergétique et Écologique.

Quel est le combat que tu portes ou que tu souhaites mener ? 

Je vis sur une terre d’élevage, de bocage, et suis très sensible aux questions agricoles et environnementales. Les agriculteurs souffrent incroyablement du modèle dominant qui leur a été imposé, et les accords de libre-échange conclus au niveau européen les sacrifient encore davantage. Dans le même temps, nous savons que ce modèle dominant, productiviste, industriel, n’est plus tenable, pour des raisons environnementales et climatiques urgentes. Les combats politiques qui me tiennent le plus à cœur sont donc ceux qui concernent la transition écologique et en particulier la transition du modèle agricole, pour laquelle il conviendra à l’avenir d’accompagner beaucoup mieux les premiers concernés.

Cette liste pour les européennes nous permet de refuser l’enfermement du débat public entre identitaires europhobes et ultra-libéraux europhiles que l’on voudrait nous imposer et ouvre la voie d’une nouvelle espérance.

Catherine Coutard, candidate GRS aux élections européennes

La Gauche républicaine et socialiste participe à la dynamique de la France insoumise dans son combat pour l’écologie populaire et la souveraineté républicaine, contre l’extrême droite et l’idéologie libérale. 4 candidats de la GRS aux européennes sont présents sur la liste France insoumise pour renforcer son action partout dans le pays : aujourd’hui nous vous présentons Catherine Coutard.

Qui es-tu ? 

J’ai 57 ans et je suis mariée, mère de deux filles. Je suis médecin urgentiste dans un hôpital public. Je suis aussi conseillère municipale de Montélimar, un mandat bénévole au service de la vie quotidienne des Montiliennes et des Montiliens. Je suis vice-présidente du Mouvement Républicain et Citoyen.

Comment a commencé ton engagement ?

Je me suis engagée quand j’avais 20 ans avec un fil rouge : la République sociale.  Liberté, Égalité, Fraternité, Laïcité sont les mots qui guident cet engagement et qui ensemble, pour moi,  doivent tisser un chemin émancipateur et de progrès. 

Quel est le combat que tu portes ou que tu souhaites mener ? 

J’ai toujours  la même énergie pour lutter pour la justice sociale, l’égalité des femmes et des hommes, l’émancipation de tous, la qualité des services publics, l’accès aux soins et contre la mondialisation financière, l’urbanisation extensive, l’abandon des zones rurales et semi-rurales, et l’Union européenne telle qu’elle se fait. La souveraineté des peuples et des nations est pour moi la garantie de la liberté et de la démocratie. 

Cette liste pour les européennes nous permet de refuser l’enfermement du débat public entre identitaires europhobes et ultra-libéraux europhiles que l’on voudrait nous imposer et ouvre la voie d’une nouvelle espérance.

Réunion publique à Romans (26) avec Catherine Coutard candidate GRS aux élections européennes, sur le thème de la santé

 Vendredi soir 29 mars Catherine Coutard, candidate GRS aux élections européennes animait une réunion publique participative sur les questions de santé. Vaste sujet puisque être en santé recouvre les problématiques de logement, d’hygiène, d’alimentation, d’environnement, de sécurité au travail … mais c’est sur les questions d ‘égalité d’accès aux soins que s’est concentrée la cinquantaine de participants. Déserts médicaux, conditions de travail à l’hôpital et bien être en EHPAD ont été les questions principales abordées.  

Des propositions ont émergé sur la prévention jusque dans nos assiettes, le refus des partenariats public-privé, l’organisation de collectifs usagers – salariés… En conclusion Catherine Coutard a repris les différentes problématiques et conclut en mobilisant sur le vote du 26 mai. Rassembler les voix de gauche sur la seule liste pouvant troubler le face à face  délétère entre LREM et le RN, éviter une « victoire » d’Emmanuel Macron (qui n’attend que çà pour reprendre son agenda ultra-libéral) et envoyer des parlementaires de combat au parlement européen tel sont les enjeux. En avant pour les porte-à-porte et diffusions sur les réseaux sociaux ! 

Emmanuel Maurel en campagne à Ivry-sur-Seine pour les élections européennes

Jeudi 28 mars à Ivry-sur-Seine en présence de la députée Mathilde Panot, les candidats Emmanuel Maurel, animateur national de la GRS et Marina Mesure étaient présents pour une réunion publique sur les élections européennes.

Une salle remplie, des échanges de qualité et des réponses aux questions que se posent les citoyens sur l’Union Européenne : quel pouvoir a le Parlement ? Comment changer l’Europe ? Comment en finir avec les maux de l’Europe comme l’évasion fiscale, le travail détaché, les traités de libre-échange insensés et néfastes aux salariés comme à l’environnement.

De ces échanges, un constat ressort, la réforme de l’Union Européenne est une nécessité absolue et cela passe a minima par une renégociation des traités (au premier lieu desquels le TSCG), comme l’explique Emmanuel Maurel : « La vérité et ceux qui disent le contraire sont des hypocrites et des menteurs, c’est que l’Europe telle qu’elle se construit avec ces traités là, empêchent les politiques progressistes d’advenir. »

Entre les (ultra) libéraux inconscients incarnés par Emmanuel Macron et le projet national-conservateur de Marine Le Pen, il existe une troisième voie, celle que la Gauche  Républicaine & Socialiste soutient avec la La France insoumise. Alors le 26 mai, pas d’hésitation, aux urnes citoyens !

Dans un département rural, Emmanuel Maurel laboure.

En campagne, dimanche et lundi dernier, Emmanuel Maurel, député européen sortant et candidat sur la liste de la France Insoumise, a enchaîné les événements, les contacts et les échanges avec la disponibilité attentive que ses interlocuteurs apprécient !

Première étape, à peine descendu du train, au cœur d’un après-midi ensoleillé, une réunion publique à Nevers au bord de la Loire aux côtés de Manon Aubry et Alexis Corbières. A deux mois d’un scrutin dont on parle trop peu près de 200 auditeurs avaient fait le déplacement pour écouter les orateurs stigmatiser l’arrogance cynique du pouvoir et surtout offrir une alternative qui passe par une autre politique européenne tournée vers l’emploi et la transition écologique. Dans la salle, dans cette terre historiquement attachée à la gauche, beaucoup de socialistes déçus et prêts à se remobiliser.

A peine la réunion achevée Emmanuel eut le souci de réunir pour un dîner convivial les principaux responsables politiques du département resté à gauche, qu’ils appartiennent toujours au PS, à Génération.s, à LFI ou aient pris leur liberté par rapport aux partis dans le souci de garder entre tous les portes ouvertes pour permettre les rassemblements indispensables demain.

Enfin, la matinée du lundi fut tout entière consacrée au soutien aux élus locaux, personnels et usagers du service public de la santé particulièrement mis à mal dans la Nièvre ces derniers temps. A La Charité sur Loire ce sont les responsables syndicaux qui ont rappelé la menace que font peser sur le Centre Hospitalier Spécialisé le projet de regroupement des lits sur Nevers et la suppression d’une direction autonome ; à Clamecy, les médecins, le maire et les élus intercommunaux firent état de leur bataille incessante pour garder des urgences de nuit.

Mais Emmanuel Maurel aurait tout aussi bien pu se rendre à Decize, au sud du département, qui voit disparaître la chirurgie ou au Nord à Cosne où a fermé la maternité, à chaque fois avec l’accord des parlementaires LREM et la passivité de la droite locale.

Après un déjeuner sur le pouce, Emmanuel Maurel pouvait quitter la ville de Romain Rolland en direction de Strasbourg, non s’en promettre de retrouver bientôt la Nièvre qu’il semble aimer tout particulièrement.

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