Sea Watch 3 : Sauver des vies et respecter le droit maritime international ne doit pas conduire en prison !

Sauver des vies et respecter le droit maritime international ne doit pas conduire en prison !!!

La capitaine allemande Pia Klemp, ancienne commandante des navires de sauvetage Luventa et Sea Watch 3 et son équipage sont sous la menace d’un procès en Italie et encourent ainsi jusqu’à 20 ans de prison.

Le crime reproché à ces marins (capitaines et équipages) est d’avoir permis le sauvetage en mer de milliers de personnes notamment des enfants en 2016 et 2017. Le gouvernement italien les accuse d’avoir aidé et encouragé l’immigration illégale. Ils sont donc interdits de navigation au large des côtes italiennes, au risque d’être arrêtés et placés en détention.

A présent, c’est au tour de Carola Rackete, nouvelle capitaine du Sea Watch qui se voit contrainte de forcer le blocage italien pour faire débarquer sur le port de Lampedusa 42 migrants qui connaissent depuis 14 jours des conditions de vie dégradantes et inhumaines, sans parler des épreuves endurées auparavant. Ces gens sont à bout.

En criminalisant le sauvetage, le gouvernement italien rend l’immigration illégale passible de mort. En effet, un naufrage en mer, qui plus est dans les conditions des traversées en question, est synonyme de mort. Il n’y a pas de demi-mesure.

C’est pour cela que le droit international condamne le marin qui, en capacité de secourir d’autres marins en péril, déciderait de ne pas agir. Car son inaction volontaire est mortelle.

Quelles que soient les circonstances d’intervention des navires de sauvetage Juventa et Sea Watch 3, Pia Klemp, Carola Rackete et leurs équipages ceux-ci ont sauvé des êtres humains d’une mort certaine. Le statut migratoire de ces personnes n’a en comparaison aucune importance.

Remettre ces principes en cause, comme le fait le gouvernement italien, comme l’a fait dans une moindre mesure l’actuel ministre de l’intérieur en accusant les ONG humanitaires de « faire le jeu des passeurs », c’est accepter de laisser mourir les migrants.

La Gauche Républicaine et Socialiste condamne ces poursuites politiques qui remettent en cause les droits humains et la solidarité entre individus. Nous saluons les courageux dockers du port Gênes qui ont déclarés le port ouvert pour le SeaWatch 3. Dans les ports et sur les mers, la solidarité n’est pas un vain mot.

Emigrer dans ces conditions c’est avant tout fuir. Personne ne fuit son pays par plaisir quand il s’agit de fuir la guerre, fuir la dictature, fuir la misère, fuir les conséquences du changement climatique, fuir les persécutions. Chaque être humain émigre d’abord pour vivre mieux, vivre libre et décemment de son travail et offrir un avenir à ses enfants. Ce qui leur est devenu impossible dans leur pays.

Madame Schiappa, encore un effort pour être féministe !

Dans une interview au Parisien le 23 juin, Marlène Schiappa déclare vouloir passer à l’action pour les femmes de chambre dans les hôtels. Cette prise de conscience des conditions de travail imposées à des salariées précaires est salutaire, elle reste néanmoins insuffisante eu égard aux enjeux.

Le président de la République Emmanuel Macron avait annoncé au début de son quinquennat vouloir faire de l’égalité femme-homme le chantier prioritaire de son mandat. Son action a pourtant eu l’effet opposé. 

Les ordonnances Pénicaud ont favorisé et encouragé le développement de la précarité. Cette précarité touche d’autant plus les services, et les services où la proportion de femmes parmi les salariés est élevée. La grande distribution reçoit chaque année des millions d’euros en CICE, et se voit encouragée à employer des salariées avec des statuts précaires, temps partiels subits et CDD en cascade.

Le gouvernement se montre sourd aux souffrances des personnels médicaux en lutte, préférant la réquisition de personnels grévistes ou en arrêt-maladie à la négociation. Dans le secteur des services à la personne et notamment dans l’aide aux personnes âgées, nombreuses sont les salariées à se voir imposer des cadences infernales, avec des déplacements multiples, pour des salaires dérisoires. Aucune mesure ne vient lutter contre les horaires fractionnés qu’imposent certains employeurs à leurs salariées, souvent peu diplômées, et ne bénéficiant souvent que d’une formation sommaire. 

Nous pourrions saluer la récente prise de conscience de Madame la Secrétaire d’État chargé(e) de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, mais ce serait faire abstraction du bilan du Gouvernement auquel elle appartient. Ce gouvernement a affaibli les droits et les protections des salariés, rendu complexe l’accès aux Prud’hommes diminuant d’autant les capacités d’actions contre les abus. Ce gouvernement favorise la précarité, les CDD, les temps partiels.

Marlène Schiappa et son gouvernement nous ont habitué à ce genre de déclarations contredites par les faits. Aucune réponse n’a par exemple été apportée aux associations luttant contre la pauvreté qui alertent sur les risques sanitaires pour les femmes les plus défavorisées privées d’accès aux protections hygiéniques du fait de leur coût trop élevés. Aucune réponse sérieuse n’a été apportée au recul du droit à l’avortement dans certains territoires, ce, alors même qu’infirmiers et sages-femmes sont qualifiés et compétents pour administrer la pilule abortive, revendication des sages-femmes depuis plusieurs années. 

La Gauche Républicaine et Socialiste dénonce le double discours du Gouvernement sur la défense des droits des femmes. Ces droits sont bien souvent sacrifiés sur l’autel des choix budgétaires contestables, baisse de l’impôt sur les sociétés, suppression de l’ISF, fermetures de lits et de services et suppressions de postes dans les hôpitaux publics, moyens insuffisants de contrôle de l’inspection du travail.

L’égalité femme-homme et la défense des droits des femmes méritent mieux que quelques déclarations fracassantes.

Christian Proust sur France bleu Belfort : « Il y a une bataille à engager pour faire reculer General Electric à Belfort »

La grande manifestation intersyndicale pour la défense de General Electric (ex Alstom) à Belfort aura lieu demain, samedi 22 juin.

La Gauche Républicaine et Socialiste sera présente en force avec Emmanuel Maurel, animateur national, Marie-Noëlle Lienemann, coordinatrice nationale et Christian Proust, référent départemental pour le territoire de Belfort et ancien Président du conseil général du Territoire de Belfort. 

La grande manifestation intersyndicale pour la défense de General Electric (ex Alstom) à Belfort aura lieu demain, samedi 22 juin.

 

La Gauche Républicaine et Socialiste sera présente en force avec Emmanuel Maurel, animateur national, Marie-Noëlle Lienemann, coordinatrice nationale et Christian Proust, référent départemental pour le territoire de Belfort et ancien Président du conseil général du Territoire de Belfort.

 

Christian Proust, combatif et déterminé, s’exprimait ce matin au micro de France Bleu Belfort sur la situation de GE à Belfort.

 

Retrouvez ci-dessous son interview

Assurance chômage : une austérité brutale et injuste du gouvernement

La réforme de l’assurance chômage présentée le mardi 18 juin par le Premier ministre Édouard Philippe, et par la ministre du travail Muriel Pénicaud, sous la forme d’un décret, contient une batterie de mesures injustes qui vont réduire brutalement les droits des demandeurs d’emploi. C’est une véritable casse brutale de notre modèle social qui est une fois encore, une fois de trop, à l’œuvre.

Le montant de l’allocation versée et les conditions d’accès au régime sont directement attaqués. Ainsi il faudra travailler 6 mois sur une période de 24 mois pour percevoir une indemnité quand il fallait 4 mois de travail sur une période de 28 mois précédemment. Ce sont 3,4 milliards d’euros de budget en moins pour les demandeurs d’emploi d’ici 2021, voire pire ensuite. Les syndicats de salariés n’ont une fois de plus pas été entendus par l’Exécutif. Les maigres pénalités, avec un taux de malus ridiculement faible, visant les entreprises ayant recours abusivement aux contrats courts ou les annonce sur la formation ne sauraient rendre ce projet gouvernemental équilibré ou juste. Pour s’en convaincre il suffit de constater par exemple que le dispositif des droits rechargeables qui permet à un allocataire de reconstituer des droits chaque fois qu’il retrouve un poste est tout simplement rendu inopérant et désincitatif pour les salariés en multipliant par 6 le nombre d’heures travaillées exigées.

Les chômeurs cadres sont eux aussi attaqués : la dégressivité des prestations est mise en œuvre. Pour les cadres rémunérés plus de 4 500 euros brut par mois en poste cela correspond à une baisse de 30 % à la fin du septième mois. Quant à l’objectif très idéologique et rétrograde qui consiste à éviter que la personne « gagne davantage au chômage qu’en travaillant » il est utilisé par la Ministre du travail pour faire des économies sur le dos des chômeurs et notamment des plus fragiles.

Pour toutes ces raisons, la Gauche Républicaine et Socialiste condamne cette contre-réforme qui n’est qu’un nouvel ajustement budgétaire brutal et injuste fait sur le dos des chômeurs par un gouvernement qui se met depuis le début du quinquennat au seul service des plus riches et du MEDEF. Nous demandons qu’une nouvelle concertation s’ouvre au plus vite avec les syndicats de salariés afin de revenir à la plus élémentaire justice sociale dont se targuait pourtant il y a seulement quelques jours le Premier Ministre lors de son discours de politique générale.

 

En 2019 le Ministre Blanquer perturbe le BAC, en 2020 il le supprime ?

Alors que la BAC 2019 débutait ce lundi avec l’épreuve de philosophie, les enseignants étaient appelés à se mobiliser sur le territoire national afin de défendre le caractère républicain du BAC en gardant un véritable cadrage national dans la loi face aux risques que font peser les projets de réformes Blanquer du Lycée. Le comptage farfelu des grévistes par Blanquer ne suffira pas à masquer la profondeur du problème.

Les enseignants et leurs syndicats ainsi que de nombreux acteurs de la communauté éducative tirent depuis des mois la sonnette d’alarme et ont demandé à plusieurs reprises au Ministre de l’Éducation d’ouvrir une véritable concertation autour de la réforme du BAC. Malgré ces demandes réitérées et les votes défavorables du Conseil Supérieur de l’Éducation Jean-Michel Blanquer a fait le choix du passage en force en refusant toute discussion avec les organisations représentatives pourtant demandeuses d’un véritable dialogue et d’avancées pour améliorer l’épreuve nationale du baccalauréat.      

La Gauche Républicaine et Socialiste soutient les enseignants, dont les conditions de travail se sont déjà amplement dégradées, dans leur légitime exigence d’un véritable BAC républicain garant de l’égalité de tous les élèves de France sans distinctions ni discriminations sociales ou territoriales. Ce sont ces principes qui doivent guider la réouverture immédiate du dialogue par le gouvernement afin d’œuvrer à la réussite de tous les enfants de la République lors des épreuves du BAC cette année et pour l’avenir.

En Haute Garonne, la GRS est lancée !

Jeudi dernier, le Comité d’Animation Départemental de Haute Garonne faisait sa réunion constitutive. Sur les terres de Jean Jaurès, dont la Gauche Républicaine et Socialiste fait sienne l’héritage politique et intellectuel, nos camarades se sont retrouvés pour échanger sur la situation politique et dresser un plan d’action pour les mois à venir.

En Haute Garonne la campagne pour le référendum sur la question d’ADP aura, à n’en pas douter, un parfum de revanche alors que la privatisation de l’aéroport de Toulouse, décidée par la « loi Macron » en 2015 tourne au fiasco complet. 

De la même manière, la campagne municipale de Toulouse s’annonce décisive afin de ne pas laisser la ville à une droite macron-compatible un mandat de plus.

D’importantes échéances sont devant nous dans les mois à venir, la Gauche Républicaine et Socialiste est au travail partout.  

Grève aux urgences, redisons-le : il y a longtemps qu’on a dépassé le supportable à l’hôpital public

La grève des personnels des services d’urgence est le symbole dramatique d’un hôpital public au bord du burn-out.

 

Sous l’effet conjugué d’une très forte augmentation de l’activité – les consultations aux urgences ont doublé en 15 ans – et des formidables contraintes budgétaires qui empêchent à la fois les embauches nécessaires et les investissements indispensables, les services d’urgence s’éloignent tous les jours un peu plus de conditions de travail dignes et sereines et de la qualité des soins qui fait – pour combien de temps encore ? – l’admiration de beaucoup pour le système de soins français

 

Le plan santé 2022 de la ministre ne pourra pas répondre aux problèmes posés ni assez vite ni assez fort tant qu’il se place dans un contexte d’austérité budgétaire dicté par la Commission Européenne et appliqué avec tant de zèle par les gouvernements successifs. 

 

Si la réponse aux justes revendications en matière d’embauches, de sécurité, de salaires et de maintien des possibilités d’hospitalisation à rebours des fermetures de lits mises en œuvre ne vient pas, nous allons décourager des générations de professionnels motivés. 

 

A travers leur bataille, les personnels des urgences défendent le meilleur de notre modèle social : égalité, humanité et qualité. 

 

Nous sommes à leurs côtés. Tous les français sont de leur côté et ce gouvernement ne pourra pas s’abriter derrière une empathie de façade. La Gauche Républicaine et Socialiste demande aux gouvernements de répondre dans un premier temps à l’urgence et à la détresse des personnels hospitaliers des urgences et d’ouvrir de vraies négociations en se donnant les moyens de répondre à la crise, non seulement des urgences mais de l’hôpital public.

 

ALSTOM – GENERAL ELECTRIC : LE SCANDALE CONTINUE

Après l’annonce de la suppression 1 050 postes à Belfort, la Gauche Républicaine et Socialiste réagit.

Bastien Faudot nous détaille la collusion entre grands groupes, gouvernement et libéraux pour dépecer Alstom. Il est temps de dénoncer et de s’opposer à la destruction méthodique du patrimoine industriel français.

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La GRS dénonce le licenciement de salariés de CORA Saint-Malo pour avoir refusé de travailler le dimanche

La grande distribution, en l’occurrence l’enseigne CORA, vient de démontrer de manière nauséabonde que le travail du dimanche n’était pas sur « la base du volontariat ».

Deux salariés bretons de l’enseigne Cora à Saint-Jouan-des-Guérets près de Saint-Malo ont été licenciés pour faute grave « sans préavis et sans indemnité » pour avoir simplement refusé de travailler le dimanche après 18 ans et 8 ans d’ancienneté.

Leur licenciement intervient alors qu’ils n’ont signé aucun avenant à leur contrat de travail prévoyant le travail dominical et que l’ouverture de leur magasin le dimanche n’a jamais été négociée avec les organisations syndicales. Il s’agit donc d’une décision unilatérale de l’employeur. Le motif du licenciement est l’insubordination, comme exposé dans une des lettres de licenciement : « Le code du travail prévoit que vous devez accepter de travailler quand on vous le demande »…?!

Cette interprétation impropre du code du travail amène ces salariés à porter l’affaire au tribunal des Prud’hommes avec l’aide de la CFTC. Le syndicat souligne que ce ne sont hélas pas des cas isolés puisque des employés d’autres entreprises auraient été licenciés ou poussés à la démission. Sans jugement exemplaire, le cas médiatisé de CORA pourrait ainsi créer une jurisprudence catastrophique pour les travailleurs de notre pays.

Nous espérons donc que le Conseil des prud’hommes condamnera CORA pour licenciement abusif et s’affranchira, comme d’autres tribunaux l’ont fait précédemment, de la barémisation et du plafonnement des indemnités introduits par la réforme du code du travail par ordonnances mise en œuvre en 2017 par le gouvernement Macron. En effet, cette disposition scandaleuse ouvre la voie à la multiplication des abus patronaux, certaines entreprises ne craignant plus d’être sanctionnées sévèrement si elles enfreignent le code du travail. Ces deux salariés devront être également réintégrés dans leur emploi. 

Il y a 150 ans, aujourd’hui jour pour jour, se déroulait la première la grève revendiquant le droit au repos dominical. Ce droit est une conquête importante du monde du travail. Le pôle Entreprises de la Gauche Républicaine & Socialiste rappelle son opposition au travail du dimanche. Le dimanche doit rester un jour de repos et de loisirs à partager. La Gauche Républicaine & Socialiste appelle donc à limiter les dérogations au code du travail.

La Gauche Républicaine & Socialiste continuera à lutter aux côtés des salariés contre la multiplication des ouvertures des grandes surfaces le dimanche, dans un secteur en crise où la pression exercée sur les salariés est très forte, notamment dans les zones rurales et périphériques. Notre parti poursuivra son action pour inscrire à nouveau dans la loi les protections auxquelles les salariés ont légitimement droit.

Contact :

    • Sébastien Lombard / 06 03 13 17 84
    • Didier Dague, responsable du pôle thématique entreprise / 06 26 15 25 03

 

Contre la loi Mobilités de Macron, vite une régulation pour les taxis et auto-écoles face à l’ubérisation !

Ce lundi 20 mai aura été marqué par une forte mobilisation sociale avec des opérations escargot menées par des taxis, des représentants d’auto-écoles et ambulanciers. A Paris, Toulouse ou encore Dijon les salariés et organisations voulaient faire entendre leurs revendications pour un « 1er round » contre la loi mobilités qui dérégule le secteur.

La manifestation organisée à proximité de l’Assemble Nationale visait à contester le contenu dérégulateur pour le secteur de la loi mobilités (LOM). En cause, plusieurs dispositions du projet de loi qui menacent directement les VTC, les ambulanciers et les auto-écoles. Concernant les taxis, c’est l’équilibre déjà précaire avec les VTC qui pourrait être mis à mal : désormais les voies de circulations réservées pourraient être ouvertes aux VTC et le stationnement sur la voie publique autorisé. Les ambulanciers sont eux menacés par les conséquences de la fin du remboursement des transports en ambulance par l’assurance maladie : désormais à la charge d’hôpitaux déjà exsangues, cela pourrait complètement asphyxier le secteur. Les autoécoles enfin pourraient être les nouvelles victimes de la lame de fond de l’ubérisation : les pistes proposées pour une réforme du permis de conduire conduiraient à favoriser les plateformes en ligne qui font appel à des moniteurs autoentrepreneurs, introduisant de fait une concurrence déloyale (pas d’obligation d’avoir un local, pas de cotisation sociale, pas de TVA,…).

Avec l’intersyndicale mobilisée du secteur (CFDT, CGT, Elite, FO, Sud) nous considérons que la loi LOM est une loi faite par et pour les plateformes. Les lois de 2014 et de 2016 doivent être enfin appliquées, dans l’intérêt même des chauffeurs VTX auxquels il faut garantir un statut protecteur et pérenne.

La Gauche Républicaine et Socialiste souhaite construire avec les acteurs du secteur une vraie loi de régulation et de protection pour mettre fin à l’extrême-marché qui abîme notre vie en commun. A travers ce combat, c’est une bataille bien plus large qui se joue contre les multinationales qui détiennent les plateformes numériques de mise en relation et contre la dérégulation de l’économie et de la société qui rabaisse nos standards sociaux, écologiques et économiques vers le bas. La concurrence n’est pas libre et le marché est un jeu de dupes pour les acteurs du système qui eux paient des licences et leur juste part d’impôt républicain.

Nous avons besoin de vous !

Quelles que soient vos compétences, si vous touchez votre bille en droit, en bricolage, si vous aimez écrire, si vous êtes créatif… vous pouvez prendre part à des actions et ateliers près de chez vous ou encore nous envoyer vos vidéos, vos dessins pour des affiches etc.