Suppression des conseillers techniques sportifs : une grossière erreur

Dans le cadre du projet de loi sur la fonction publique, le Gouvernement fait un choix dont il aura à assumer les conséquences au regard de l’histoire du sport français. Le corps des cadres techniques du ministère des sports va être supprimé. Les postes actuels seront transférés aux fédérations en les subventionnant dans un premier temps pour continuer à verser les traitements. Puis au fur et à mesure des départs les fédérations devront assumer le recrutement et la rémunération de leurs cadres.

En exfiltrant les 1600 conseillers techniques sportifs du ministère des sports pour les « distribuer » aux fédérations, ce gouvernement va brutalement mettre un terme à un modèle que tous nos adversaires sportifs enviaient : 1600 cadres A de la fonction publique recrutés par voie de concours au service d’une politique sportive concertée et garants d’une politique sportive nationale. Alors que le sport français va être confronté dans 5 ans à un challenge qui ne se reproduira sans doute pas de sitôt dans son histoire : des Jeux olympiques d’été sur notre territoire, Emmanuel Macron fait le choix de démanteler ce qui constitue un modèle d’accès à la performance de haut niveau !

Comble de l’ironie, c’est une ministre à la sensibilité de gauche et une grande championne qui a pourtant bénéficié de ce modèle ! Chapeau l’artiste ! La liquidation du modèle sportif français va sans doute faire faire des économies à ce gouvernement mais elle sonnera également le glas de nos rêves olympiques.

La Gauche Républicaine et Socialiste demande au gouvernement de revenir à la raison et de retirer cet article de loi pour sauver le modèle sportif républicain.

Projet de loi Fonction publique, une attaque sans précédent qui appelle une riposte massive et unitaire !

Notre pays traverse depuis bientôt 7 mois un mouvement social sans précèdent parti des classes populaires et moyennes portant l’exigence de l’égalité républicaine et de la justice sociale partout sur le territoire national. C’est dans ce contexte que le gouvernement choisit de porter une attaque irresponsable contre la Fonction publique.

Face à cette offensive néolibérale d’Emmanuel Macron et de son Gouvernement les organisations syndicales de la Fonction publique montrent la voie en faisant le choix de l’unité dans l’action et dans la durée, en appelant les citoyens et fonctionnaires à faire grève le 9 mai.

La Gauche Républicaine et Socialiste se joint à leurs côtés afin de défendre notre modèle social républicain et les garanties attachées à la fonction publique si indispensables à notre pays. La préservation et le renforcement des moyens de nos services publics, le statut général des fonctionnaires sont au cœur de cette mobilisation.

Ce projet de loi est le produit d’une initiative unilatérale du gouvernement, rejetée par l’ensemble des organisations syndicales représentatives, il s’agit d’une attaque contre notre fonction publique et la stabilité protectrice de nos institutions démocratiques. Il prévoit d’importantes régressions et la casse de notre fonction publique : Le recours généralisé au recrutement contractuel vise à précariser un nombre toujours plus important de français tout en organisant la fin de la neutralité liée au statut de fonctionnaire. Les organismes représentatifs et paritaires sont réduits. Les rémunérations sont rendues en partie aléatoires, renforçant ainsi les inégalités et la précarité pour les personnels. Le CNFPT si nécessaire à la formation républicaine des agents publics est privatisé. Les 35 heures dans les collectivités territoriales sont également mises en cause.

Face à ces attaques la Gauche Républicaine et Socialiste propose et exige du gouvernement :

  • Le retrait du projet de loi Fonction publique ;
  • Le dégel immédiat du point d’indice de la Fonction publique et l’augmentation des salaires du public et du privé sur la base du SMIC à 1 500€ net ;
  • L’arrêt des 120 000 suppressions de postes et des fermetures de services publics conformément au moratoire promis aux français le 25 avril par Emmanuel Macron ;
  • Le recrutement de fonctionnaires et des créations de postes pour répondre aux besoins de nos services publics (écoles, hôpitaux, inspection du travail, administration fiscale, collectivités.

La Gauche Républicaine et Socialiste appelle à manifester le 9 mai aux côtés des fonctionnaires mobilisés pour s’opposer au Projet de loi présenté par le Gouvernement et la suppression de 120 000 postes dans la fonction publique.

Reprise de l’aciérie Ascoval de Saint-Saulve par British Steel, la délivrance !

Par le pôle thématique entreprises de la Gauche Républicaine et Socialiste

Le tribunal de grande instance de Strasbourg a confié jeudi la reprise de l’aciérie Ascoval au groupe sidérurgiste British Steel. C’est une véritable délivrance et un soulagement pour les 270 salariés et leurs familles, épuisés et éprouvés par quatre années de lutte et de rebondissements incessants. Tous les salariés seront repris. La ténacité a enfin fini par payer. L’usine de Saint-Saulve est une des usines sidérurgiques parmi les plus modernes d’Europe. La prise d’effet de cette session a été fixée au 15 mai 2019 à minuit. Il importe maintenant de remplir le carnet de commandes. L’objectif est que l’aciérie « British Steel Saint Saulve » atteigne sa capacité maximal de production à l’horizon 2021.

Selon un communiqué, le groupe britannique ouvre une filière complémentaire à celle des hauts fourneaux pour développer une production à partir d’acier recyclé destiné aux « produits longs » (rails ferroviaires, fil machine). Cette nouvelle filière qualifiée de stratégique et plus écologique par le groupe permettra d’alimenter et de faire croître le volume de production des usines et laminoirs. On se souvient de la douche froide qu’avait constitué l’annonce de la reprise d’Ascoval par le franco-belge Altifort puis son désistement fin février. On se souvient moins que Vallourec (dont l’Etat est actionnaire à 16% via BPI France) est le principal client d’Ascoval ainsi qu’un actionnaire de poids (40%). Pourtant Vallourec a toujours refusé de s’investir tant financièrement qu’en terme de volumes pendant la période de transition lors du plan de reprise d’Altifort.

Cette histoire est riche d’enseignements à l’heure ou un groupe appartenant à un magnat info-britannique a mis la main sur une immense fonderie d’aluminium à Dunkerque ainsi que sur deux équipementiers automobiles dans la Vienne affirmant « vouloir réindustrialiser la France ». Ainsi les groupes étrangers croiraient plus en l’industrie française que le gouvernement qui manque cruellement de volonté et de stratégie pour la réindustrialisation de la France. Un comble! Ce succès ne doit pas faire oublier les trop nombreux sites industriels qui ferment ou ont fermé et leurs anciens occupants qui passent rapidement de l’oubli médiatique à l’oubli tout court rendant impérieux le besoin d’une stratégie volontariste à l’échelle du territoire. Une des premières sécurité à laquelle assurent les français est d’abord celle d’avoir un travail.

Vous souhaitez rejoindre le pôle thématique entreprises de la GRS pour participer aux travaux du pôle et aux rencontres organisées ? Merci d’adresser un message à contact@g-r-s.fr

 

Pitié-Salpêtrière : mensonge d’État ?

Communiqué de la Gauche Républicaine et Socialiste

D’après les enquêtes rigoureuses menées par la presse française ces dernières heures, « l’attaque » de l’hôpital de la pitié salpetriere n’a jamais eu lieu. Si ces informations devaient être confirmées, les accusations formulées par Christophe Castaner au lendemain des manifestations du 1er mai relèveraient du mensonge d’Etat.

En choisissant d’instrumentaliser des faits qui ne sont pas établis pour exacerber les tensions, le ministre de l’intérieur manque à ses responsabilités. La Gauche Républicaine et Socialiste appelle Christophe Castaner à apporter les preuves de ses allégations, ou à défaut, à quitter ses fonctions. Il en va du sens de la responsabilité en République.

 

Un 1er mai pour faire entendre notre colère contre la remise en cause de notre système social et des corps intermédiaires

Par le pôle thématique entreprise de la Gauche Républicaine et Socialiste

Partout dans le monde, le 1er mai, les travailleurs, les salariés, les retraités les personnes privées d’emplois se mobilisent pour se faire entendre.

Les mouvements du 1er mai nous rappellent que nous avons gagné nos droits par la lutte et le combat : Droit au chômage, Droit à la retraite, Droit d’expression, Droit à la formation, Droit à la santé etc…  Les travailleurs veulent simplement vivre dignement et en paix.

Dans certains pays la mobilisation des peuples est déterminante dans le rejet de régimes totalitaires, pour la démocratie et le respect des droits de l’homme.

En France, ce rendez-vous reste incontournable pour exprimer les revendications du monde du travail surtout face aux urgences sociales et climatiques. Nous exprimons donc notre colère :

        Contre les mesures répressives et liberticides 

Les mobilisations de salariés, jeunes, retraités ou gilets jaunes se poursuivent et s’inscrivent dans la durée malgré toutes les mesures répressives et liberticides prises par le gouvernement Macron.  Leurs revendications pour plus de justice sociale et de protection sont légitimes, pourtant le gouvernement souhaite les empêcher voire les réprimer par la loi « anticasseur » dont certaines dispositions fort heureusement ont été rejetées.

Aux côtés du monde du travail, nous en demandons donc l’abrogation. La criminalisation de la contestation et la répression syndicale s’accentuent dans de nombreux secteurs et ce n’est plus acceptable.

        Contre l’affaiblissement organisé du syndicalisme.

Avec les ordonnances Macron, les structures chargées de garantir la représentation des salariés et de veiller à leur sécurité (en particulier avec la disparition des CHSCT) ont été réduites, créant une véritable hémorragie de salariés engagés pour défendre leurs collègues. En même temps, les syndicats comme les corps intermédiaires sont négligés et/ou contournés.

Or il n’y a pas de progrès, de juste respect des droits, de défense des plus faibles et de l’intérêt général sans un syndicalisme fort, des militants syndicaux reconnus et pris en compte.

        Contre les dégradations de conditions de travail

Trop de salariés ne peuvent pas vivre dignement de leur travail, d’autres subissent une dégradation de leurs conditions de travail (intensification des taches, burn-out, temps partiel subi et fragmentation des taches, absence de considération) et d’autres en ont sont injustement privés. Ainsi, ces dégradations génèrent une perte de productivité importante pour le pays et les entreprises alors même que nos salariés sont parmi les plus productifs au monde.

        Contre les reculs sociaux

Avec le grand débat l’objectif du Président Macron était bien d’imposer à marche forcée de nouveaux reculs sociaux d’une gravité sans précédent sur la retraite, les services publics, la santé, l’éducation nationale…etc

Alors que la population souhaite voir consolider notre modèle social et républicain par des services publics de proximité, le gouvernement n’a toujours pas officiellement abandonné sa volonté de supprimer 120 000 emplois dans la fonction publique et de réduire les dépenses publiques plutôt que de combattre l’évasion et la fraude fiscale.

        Contre la désindustrialisation :

Chaque jour sont annoncés de nouvelles fermetures de sites, des plans de licenciements ou des délocalisations dans l’industrie et dans les services. Cette situation est dramatique pour l’emploi et l’écologie, mais aussi pour de nombreux territoires comme pour les capacités productives du pays. Elles contribuent à la fragilisation du salariat. En dépit des déclarations du Président de la République, la France ne se rapproche pas du plein emploi et la flexibilisation du marché du travail a créé surtout de la précarisation. Contrairement à ses déclarations, en France la durée du travail et la productivité sont parmi les plus élevées par rapport aux autres pays européens. Pour la GRS, seule une autre politique économique et sociale, une relance écologique, sociale ainsi qu’une remise en cause de la concurrence libre et non faussée au niveau européen sont de nature à faire reculer massivement le chômage et la précarité.

Alors, ce 1er Mai doit mettre un terme à cette fuite en avant autour de revendications concrètes et immédiates mais aussi comme l’affirmation d’une large volonté de contribuer à une alternative au modèle libéral qui a provoqué une grave remise en cause des grands progrès sociaux acquis par la mobilisation des salariés et des forces de gauche et populaires. Ce mois de Mai, doit être aussi celui de l’espoir retrouvé et du combat unitaire.

La Gauche Républicaine et Socialiste soutient les mobilisations du 1er mai où elle sera présente pour défendre tous les droits de tous les travailleurs.

 

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MACRON, les travailleurs ne veulent pas de ton monde ! 

Libéralisation et casse de notre droit du travail, privatisation de notre patrimoine public, attaque sur les retraites et réforme de l’assurance chômage, non revalorisation des salaires dans la fonction publique et refus d’augmenter le SMIC, la liste est longue des mesures anti-sociales décidées par Emmanuel Macron et son Gouvernement. 

La GRS sera donc mobilisée le 1er mai et invite ses militants à prendre part aux manifestations et mobilisations qui sont organisées sur tout le territoire national.

  • A Paris la GRS sera présente à 13h30 pour une diffusion de notre tract pour le 1er mai à Montparnasse avec Jean-Luc Laurent et Marie-Noëlle Lienemann, coordinateurs nationaux.
 
  • A Nevers, Emmanuel Maurel, animateur national et député européen, Catherine Coutard et Anthony Gratacos candidats aux élections européennes seront présent dans le cadre de la marche : « Un autre chemin pour l’Europe. »
 
  • Belfort, Bastien Faudot, animateur national sera présent aux côtés des militants et syndicats pour protester notamment contre les fermetures d’usine à Alstom.
 

Un tract spécifique au 1er mai est à votre disposition sur notre site afin d’être imprimé par les militants pour distribution lors des manifestations. Vous pouvez télécharger celui-ci en cliquant ci-dessous.

Grève aux urgences : il y a longtemps qu’on a dépassé le supportable à l’hôpital public !

Le Gouvernement doit désormais agir en urgence absolue !

La grève des personnels des services d’urgence est le symbole dramatique d’un hôpital public au bord du burn-out parce qu’ils et elles sont passionnés par leur métier, parce qu’ils ont un sens aigu du service public et parce que l’activité quotidienne ne leur laisse pas vraiment le temps de s’organiser pour autre chose. Alors quand les urgences sont en grève c’est que l’on a dépassé depuis longtemps la limite du supportable.  

Sous l’effet conjugué d’une très forte augmentation de l’activité – les consultations aux urgences ont doublé en 15 ans – et des formidables contraintes budgétaires qui empêchent à la fois les embauches nécessaires et les investissements indispensables, les services d’urgence s’éloignent tous les jours un peu plus de conditions de travail dignes et sereines et de la qualité des soins qui fait – pour combien de temps encore ? – l’admiration de beaucoup pour le système de soins Français.

Le plan santé 2022 de la ministre ne pourra pas répondre aux problèmes posés tant qu’il se place dans un contexte d’austérité budgétaire dicté par la Commission Européenne et appliqué avec tant de zèle par les gouvernements successifs.

Mais si nous ne répondons pas fortement et rapidement aux justes revendications en matière d’embauches, de sécurité et de salaires, nous prenons le risque de décourager des générations de professionnels motivés. L’esprit de service public si important, expliquant les efforts consentis depuis des années par les agents hospitaliers et qui ne peut pas se réduire à des motivations financières, serait alors – est déjà ? –  en grand danger.

 La Gauche Républicaine et Socialiste apporte son soutien total au mouvement des urgentistes et appelle la ministre de la santé à sortir de son mutisme et de dégager immédiatement les moyens nécessaires

Emotion et solidarité après les attentats au Sri Lanka

 

Communiqué de la Gauche Républicaine et Socialiste

 Nous sommes tous choqués par la série d’attentats perpétrés au Sri Lanka, visant et tuant plus de 290 personnes. Nos pensées  et notre solidarité vont à tous les proches des victimes et au peuple Sri lankais.

Nous avons été en France également meurtris de nombreuses fois par des actes terroristes qui n’ont qu’un seul objectif : la guerre et la division par la violence.  Pour la Gauche Républicaine et Socialiste tous les obscurantismes religieux doivent être combattus fermement partout où ils se manifestent, pour préserver la paix et la vie en commun. Croyants ou non tous les êtres humains ont un égal droit à vivre ensemble

Pas touche à Nos Retraites solidaires : défendons notre modèle social Républicain  !

Le Medef a proposé jeudi de relever l’âge légal de départ en retraite de 62 à 64 ans d’ici 2028, afin de privilégier un calcul comptable favorable à ses vues. C’est un véritable dé-tricotage de notre système de retraites par répartition solidaire entre les générations qui est mis sur la table, en s’inscrivant logiquement dans le projet gouvernemental antisocial de retraites par points.

Son président, sans retenue ni complexe, propose d’amplifier la régression dès 2020 en procédant au relèvement de l’âge légal sur huit ans, soit d’un trimestre par an. Le Medef privilégie opportunément pour les intérêts du patronat un report de l’âge légal, plutôt qu’une hausse des cotisations patronales, des revenus financiers ou qu’un prélèvement sur les profits des grandes banques.

 Le Président de la République et son Premier Ministre laissent faire et entretiennent un flou stratégique en défaveur des travailleurs en laissant leurs ministres plaider pour un allongement de la durée de travail, alors que le haut-commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye, insiste sur le maintien de l’âge légal à 62 ans, conformément à la promesse de campagne d’Emmanuel Macron.

 Pour la Gauche Républicaine et Socialiste les exigences du monde du travail sont claires : priorité au système de retraites par répartition solidaire, retraite à 60 ans et financement de notre régime républicain de retraites et de la dépendance par un financement plus juste assis sur les profits des actionnaires, des entreprises et du monde de la finance.  

 

Un nouveau comité Gauche Républicaine et Socialiste dans les Landes !

Ce 17 avril, avait lieu à mont de marsan la soirée de lancement de la Gauche Républicaine et Socialiste Landaise.      

C’est avec un Collectif d’animation départemental motivé que nous avons pu expliquer aux participants la genèse de la création de GRS, ses piliers, la république une et indivisible, celle du peuple souverain, l’écologie populaire comme préalable à toute action publique, le socialisme, émancipateur ,garant de justice et d’équité, sans lequel la république n’est pas.
Les participants à cette soirée, hormis ceux de GRS étaient issus des autres formations politiques de la gauche landaise, a savoir la France Insoumise avec notamment la présence de jean louis boutevin , candidat aux élections européennes, accompagné de plusieurs militants, Génération.s, le parti socialiste ainsi que des citoyens curieux.

La représentation de cette assemblée nous a permis de développer notre volonté de fonder un nouveau Front Populaire du 21ieme siècle et ainsi de présenter GRS comme une force capable de travailler, sur la base d’idées partagées, à une plateforme programmatique dans toutes les élections à venir, une force assumant son rôle de trait d’union de la Gauche.  

Un parti, organisé, dans l’action, avec notamment la campagne #privatisercestvoler contre les privatisations et l’opération de liquidation systématique de nos biens communs dirigée par le président Macron, un parti qui assume et revendique la rupture, qui n’accepte pas le compromis permanent amenant à la compromission. C’est sur ce développement que nous avons pu réaffirmer notre engagement dans la campagne européenne aux cotés de la France Insoumise et de son programme Maintenant le Peuple, le seul à nos yeux, capable de dresser un constat implacable de ce qu’est devenue l’union Européenne, mais aussi le seul en mesure de proposer les outils pour imposer un rapport de force dont nous sommes convaincus qu’il sera favorable au peuple européen.          

Nous avons pu annoncer les 2 évennements majeurs de la campagne dans les landes avec la venue d’Emmanuel MAUREL le 4 mai à Morcenx à l’occasion d’un « Printemps Landais Maintenant le Peuple » et de Catherine COUTARD et Marie Noelle LIENEMANN le 18 mai à DAX pour un « Surgissement populaire »   
La soirée s’est poursuivie autour de produits locaux et cuisinés par l’équipe de GRS et les discussions, passionnantes, se sont poursuivies tard dans la soirée.

 

Nous avons besoin de vous !

Quelles que soient vos compétences, si vous touchez votre bille en droit, en bricolage, si vous aimez écrire, si vous êtes créatif… vous pouvez prendre part à des actions et ateliers près de chez vous ou encore nous envoyer vos vidéos, vos dessins pour des affiches etc.