Anthony Gratacos, candidat GRS aux élections européennes

La Gauche républicaine et socialiste participe à la dynamique de la France insoumise dans son combat pour l’écologie populaire et la souveraineté républicaine, contre l’extrême droite et l’idéologie libérale. 4 candidats de la GRS aux européennes sont présents sur la liste France insoumise pour renforcer son action partout dans le pays : aujourd’hui nous vous présentons Anthony Gratacos.

Qui es-tu ? 

Anthony Gratacos, Moussy-le-Neuf, 33 ans, marié, 2 enfants mais bientôt 3. Né à Meaux, je suis conseiller municipal d’opposition dans l’un de ces territoires péri-urbain qui subissent de plein fouet les conséquences du désengagement de la puissance publique et les mutations de notre économie.

Comment a commencé ton engagement ?

Mon premier combat politique, je le mène en 2002 suite à l’élection présidentielle, contre l’extrême droite. De nombreuses autres mobilisations suivirent (CPE, autonomie des universités, …). En 2016, c’est contre la casse du code du travail que je me suis battu en animant un groupe de chefs d’entreprise contre la loi travail. Patron d’une entreprise de 21 salarié·e·s implantée sur la plateforme aéroportuaire de Roissy, je suis convaincu que le droit du travail, les cotisations sociales, etc. ne sont pas un frein à l’activité mais un garde fou qui protège nos entreprises, les salarié·e·s et l’économie. C’est sur ces sujets mais aussi sur les questions fiscales que je souhaite m’impliquer lors de la campagne.

Quel est le combat que tu portes ou que tu souhaites mener ? 

Militant socialiste depuis 2003, j’ai fait le choix il y a quelques mois de suivre Emmanuel Maurel dans sa démarche au sein de la GRS afin de construire, ensemble, le front populaire du XXième siècle.

Emmanuel Maurel, candidat GRS aux élections européennes

La Gauche républicaine et socialiste participe à la dynamique de la France insoumise dans son combat pour l’écologie populaire et la souveraineté républicaine, contre l’extrême droite et l’idéologie libérale. 4 candidats de la GRS aux européennes sont présents sur la liste France insoumise pour renforcer son action partout dans le pays : aujourd’hui nous vous présentons Emmanuel Maurel.

Qui es-tu ? 

Je suis né le 10 mai 1973 à Épinay-sur-Seine (93). Après des études de lettres modernes et d’histoire, je suis diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris. J’ai, par la suite, enseigné dans le supérieur et suis l’auteur d’un manuel de droit constitutionnel.

Comment a commencé ton engagement ?

Très tôt militant, je suis élu municipal de Persan (95) et vice-président de la Région Île-de-France en charge des affaires européennes et internationales puis en charge de l’apprentissage, de la formation professionnelle, de l’alternance et de l’emploi jusqu’en 2014.Biographe de Jean Poperen, Éditorialiste de l’hebdomadaire « La Corrèze républicaine et socialiste » et directeur de publication du mensuel politique et culturel « Parti pris », j’ai toujours appartenu à l’aile gauche du PS.

Quel est le combat que tu portes ou que tu souhaites mener ? 

Depuis 2014, je suis député européen, membre des commissions « commerce international » et « affaires économiques ». Après le scandale « Panama Papers », je participe également à la commission d’enquête sur l’évasion fiscale. Tout au long de mon mandat, je m’engage notamment contre les méga-accords commerciaux qui vont à l’encontre des intérêts des salarié·e·s, des consommateur·rice·s et du respect de la planète (TAFTA, CETA, JEFTA…). Je me mobilise également en faveur du protectionnisme solidaire, proposant des textes législatifs visant à défendre les salaires, les savoir-faire et les territoires menacés par les délocalisations et le dumping social. Enfin, je suis en première ligne dans le combat pour une fiscalité plus juste au moment où les multinationales comme McDonalds, Facebook, Google, etc. ne paient quasiment pas d’impôts dans les pays où ils réalisent des bénéfices. En octobre 2018, je quitte le Parti Socialiste afin de fonder l’APRES (Alternative pour un Programme Républicain, Écologiste et Socialiste). Au Parlement, je siège désormais au groupe de la Gauche unitaire européenne (GUE/NGL).

Elisabeth Jutel, candidate GRS aux élections européennes

La Gauche républicaine et socialiste participe à la dynamique de la France insoumise dans son combat pour l’écologie populaire et la souveraineté républicaine, contre l’extrême droite et l’idéologie libérale. 4 candidats de la GRS aux européennes sont présents sur la liste France insoumise pour renforcer son action partout dans le pays : aujourd’hui nous vous présentons Elisabeth Jutel.

Qui es-tu ? 

Née au printemps 1981, j’ai fait des études d’anglais et de linguistique à l’Université de Nantes et j’ai eu la chance de passer une année de Master à l’Université de Cardiff au Royaume-Uni grâce au programme Erasmus. Je suis née à la fois française et européenne et suis très préoccupée par ce qu’est devenue l’UE. Passionnée de pop culture et en particulier de chanson, je suis aujourd’hui parolière et chanteuse. Installée depuis 15 ans dans les Deux-Sèvres, j’ai un fils, et ne peux pas ne pas me battre pour que le monde, et notre pays soient encore vivables quand il aura mon âge.

Comment a commencé ton engagement ?

J’ai toujours été intéressée par les idées, la chose publique, par la politique au sens large. Je votais aux élections, mais ne me suis réellement engagée en politique que récemment, lors des municipales de 2014 pour lesquelles j’ai été sollicitée pour faire partie d’une liste. Avant cela, j’étais, et suis toujours, engagée dans plusieurs associations locales, sociales et de défense de l’environnement. Je suis actuellement conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine, siégeant dans la commission Transition Énergétique et Écologique.

Quel est le combat que tu portes ou que tu souhaites mener ? 

Je vis sur une terre d’élevage, de bocage, et suis très sensible aux questions agricoles et environnementales. Les agriculteurs souffrent incroyablement du modèle dominant qui leur a été imposé, et les accords de libre-échange conclus au niveau européen les sacrifient encore davantage. Dans le même temps, nous savons que ce modèle dominant, productiviste, industriel, n’est plus tenable, pour des raisons environnementales et climatiques urgentes. Les combats politiques qui me tiennent le plus à cœur sont donc ceux qui concernent la transition écologique et en particulier la transition du modèle agricole, pour laquelle il conviendra à l’avenir d’accompagner beaucoup mieux les premiers concernés.

Cette liste pour les européennes nous permet de refuser l’enfermement du débat public entre identitaires europhobes et ultra-libéraux europhiles que l’on voudrait nous imposer et ouvre la voie d’une nouvelle espérance.

Catherine Coutard, candidate GRS aux élections européennes

La Gauche républicaine et socialiste participe à la dynamique de la France insoumise dans son combat pour l’écologie populaire et la souveraineté républicaine, contre l’extrême droite et l’idéologie libérale. 4 candidats de la GRS aux européennes sont présents sur la liste France insoumise pour renforcer son action partout dans le pays : aujourd’hui nous vous présentons Catherine Coutard.

Qui es-tu ? 

J’ai 57 ans et je suis mariée, mère de deux filles. Je suis médecin urgentiste dans un hôpital public. Je suis aussi conseillère municipale de Montélimar, un mandat bénévole au service de la vie quotidienne des Montiliennes et des Montiliens. Je suis vice-présidente du Mouvement Républicain et Citoyen.

Comment a commencé ton engagement ?

Je me suis engagée quand j’avais 20 ans avec un fil rouge : la République sociale.  Liberté, Égalité, Fraternité, Laïcité sont les mots qui guident cet engagement et qui ensemble, pour moi,  doivent tisser un chemin émancipateur et de progrès. 

Quel est le combat que tu portes ou que tu souhaites mener ? 

J’ai toujours  la même énergie pour lutter pour la justice sociale, l’égalité des femmes et des hommes, l’émancipation de tous, la qualité des services publics, l’accès aux soins et contre la mondialisation financière, l’urbanisation extensive, l’abandon des zones rurales et semi-rurales, et l’Union européenne telle qu’elle se fait. La souveraineté des peuples et des nations est pour moi la garantie de la liberté et de la démocratie. 

Cette liste pour les européennes nous permet de refuser l’enfermement du débat public entre identitaires europhobes et ultra-libéraux europhiles que l’on voudrait nous imposer et ouvre la voie d’une nouvelle espérance.

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