Assurance chômage : une austérité brutale et injuste du gouvernement

La réforme de l’assurance chômage présentée le mardi 18 juin par le Premier ministre Édouard Philippe, et par la ministre du travail Muriel Pénicaud, sous la forme d’un décret, contient une batterie de mesures injustes qui vont réduire brutalement les droits des demandeurs d’emploi. C’est une véritable casse brutale de notre modèle social qui est une fois encore, une fois de trop, à l’œuvre.

Le montant de l’allocation versée et les conditions d’accès au régime sont directement attaqués. Ainsi il faudra travailler 6 mois sur une période de 24 mois pour percevoir une indemnité quand il fallait 4 mois de travail sur une période de 28 mois précédemment. Ce sont 3,4 milliards d’euros de budget en moins pour les demandeurs d’emploi d’ici 2021, voire pire ensuite. Les syndicats de salariés n’ont une fois de plus pas été entendus par l’Exécutif. Les maigres pénalités, avec un taux de malus ridiculement faible, visant les entreprises ayant recours abusivement aux contrats courts ou les annonce sur la formation ne sauraient rendre ce projet gouvernemental équilibré ou juste. Pour s’en convaincre il suffit de constater par exemple que le dispositif des droits rechargeables qui permet à un allocataire de reconstituer des droits chaque fois qu’il retrouve un poste est tout simplement rendu inopérant et désincitatif pour les salariés en multipliant par 6 le nombre d’heures travaillées exigées.

Les chômeurs cadres sont eux aussi attaqués : la dégressivité des prestations est mise en œuvre. Pour les cadres rémunérés plus de 4 500 euros brut par mois en poste cela correspond à une baisse de 30 % à la fin du septième mois. Quant à l’objectif très idéologique et rétrograde qui consiste à éviter que la personne « gagne davantage au chômage qu’en travaillant » il est utilisé par la Ministre du travail pour faire des économies sur le dos des chômeurs et notamment des plus fragiles.

Pour toutes ces raisons, la Gauche Républicaine et Socialiste condamne cette contre-réforme qui n’est qu’un nouvel ajustement budgétaire brutal et injuste fait sur le dos des chômeurs par un gouvernement qui se met depuis le début du quinquennat au seul service des plus riches et du MEDEF. Nous demandons qu’une nouvelle concertation s’ouvre au plus vite avec les syndicats de salariés afin de revenir à la plus élémentaire justice sociale dont se targuait pourtant il y a seulement quelques jours le Premier Ministre lors de son discours de politique générale.

 

En 2019 le Ministre Blanquer perturbe le BAC, en 2020 il le supprime ?

Alors que la BAC 2019 débutait ce lundi avec l’épreuve de philosophie, les enseignants étaient appelés à se mobiliser sur le territoire national afin de défendre le caractère républicain du BAC en gardant un véritable cadrage national dans la loi face aux risques que font peser les projets de réformes Blanquer du Lycée. Le comptage farfelu des grévistes par Blanquer ne suffira pas à masquer la profondeur du problème.

Les enseignants et leurs syndicats ainsi que de nombreux acteurs de la communauté éducative tirent depuis des mois la sonnette d’alarme et ont demandé à plusieurs reprises au Ministre de l’Éducation d’ouvrir une véritable concertation autour de la réforme du BAC. Malgré ces demandes réitérées et les votes défavorables du Conseil Supérieur de l’Éducation Jean-Michel Blanquer a fait le choix du passage en force en refusant toute discussion avec les organisations représentatives pourtant demandeuses d’un véritable dialogue et d’avancées pour améliorer l’épreuve nationale du baccalauréat.      

La Gauche Républicaine et Socialiste soutient les enseignants, dont les conditions de travail se sont déjà amplement dégradées, dans leur légitime exigence d’un véritable BAC républicain garant de l’égalité de tous les élèves de France sans distinctions ni discriminations sociales ou territoriales. Ce sont ces principes qui doivent guider la réouverture immédiate du dialogue par le gouvernement afin d’œuvrer à la réussite de tous les enfants de la République lors des épreuves du BAC cette année et pour l’avenir.

En Haute Garonne, la GRS est lancée !

Jeudi dernier, le Comité d’Animation Départemental de Haute Garonne faisait sa réunion constitutive. Sur les terres de Jean Jaurès, dont la Gauche Républicaine et Socialiste fait sienne l’héritage politique et intellectuel, nos camarades se sont retrouvés pour échanger sur la situation politique et dresser un plan d’action pour les mois à venir.

En Haute Garonne la campagne pour le référendum sur la question d’ADP aura, à n’en pas douter, un parfum de revanche alors que la privatisation de l’aéroport de Toulouse, décidée par la « loi Macron » en 2015 tourne au fiasco complet. 

De la même manière, la campagne municipale de Toulouse s’annonce décisive afin de ne pas laisser la ville à une droite macron-compatible un mandat de plus.

D’importantes échéances sont devant nous dans les mois à venir, la Gauche Républicaine et Socialiste est au travail partout.  

Privatisation d’ADP : la campagne de signatures pour le référendum est lancée !

Depuis le débat autour du projet de loi PACTE jusqu’à son adoption à l’assemblée Nationale la GRS s’est fortement mobilisée sur le terrain, dans les journaux et au Parlement pour s’opposer à la privatisation du Groupe ADP.        

Emmanuel Macron et son gouvernement sont passés à marche forcée et la loi a été adoptée par le Parlement le 11 avril dernier. Cela signifie que le Gouvernement d’Édouard Philippe a désormais la possibilité de brader un symbole de notre souveraineté à des intérêts privés.

Heureusement, la bataille n’est pas finie et tout commence ! Près de 250 députés et sénateurs issus des forces républicaines de l’opposition ont initié en avril dernier une procédure législative sans précédent sous la Ve République :  un référendum d’initiative partagée (RIP). Ce processus démocratique inédit, qui commence officiellement ce 13 juin, s’adresse à l’ensemble des citoyens français.     

Nous devons être en 9 mois plus de 4,71 millions de français à signer sur un site officiel dédié afin qu’un référendum sur le sujet soit organisé et que nous puissions pour protéger le service public d’Aéroports de Paris. Dans nos villes, villages, quartiers ou sur les réseaux sociaux nous devons mener et amplifier cette belle campagne unitaire notamment avec nos partenaires de toute la gauche.  


Objectifs politiques majeurs : obtenir ce référendum pour notre souveraineté et emporter une victoire contre la politique libérale du gouvernement !           

Pour signer, cliquez ci-dessous ou alors rendez-vous directement dans votre mairie.  A vos signatures camarades !

Grève aux urgences, redisons-le : il y a longtemps qu’on a dépassé le supportable à l’hôpital public

La grève des personnels des services d’urgence est le symbole dramatique d’un hôpital public au bord du burn-out.

 

Sous l’effet conjugué d’une très forte augmentation de l’activité – les consultations aux urgences ont doublé en 15 ans – et des formidables contraintes budgétaires qui empêchent à la fois les embauches nécessaires et les investissements indispensables, les services d’urgence s’éloignent tous les jours un peu plus de conditions de travail dignes et sereines et de la qualité des soins qui fait – pour combien de temps encore ? – l’admiration de beaucoup pour le système de soins français

 

Le plan santé 2022 de la ministre ne pourra pas répondre aux problèmes posés ni assez vite ni assez fort tant qu’il se place dans un contexte d’austérité budgétaire dicté par la Commission Européenne et appliqué avec tant de zèle par les gouvernements successifs. 

 

Si la réponse aux justes revendications en matière d’embauches, de sécurité, de salaires et de maintien des possibilités d’hospitalisation à rebours des fermetures de lits mises en œuvre ne vient pas, nous allons décourager des générations de professionnels motivés. 

 

A travers leur bataille, les personnels des urgences défendent le meilleur de notre modèle social : égalité, humanité et qualité. 

 

Nous sommes à leurs côtés. Tous les français sont de leur côté et ce gouvernement ne pourra pas s’abriter derrière une empathie de façade. La Gauche Républicaine et Socialiste demande aux gouvernements de répondre dans un premier temps à l’urgence et à la détresse des personnels hospitaliers des urgences et d’ouvrir de vraies négociations en se donnant les moyens de répondre à la crise, non seulement des urgences mais de l’hôpital public.

 

ALSTOM – GENERAL ELECTRIC : LE SCANDALE CONTINUE

Après l’annonce de la suppression 1 050 postes à Belfort, la Gauche Républicaine et Socialiste réagit.

Bastien Faudot nous détaille la collusion entre grands groupes, gouvernement et libéraux pour dépecer Alstom. Il est temps de dénoncer et de s’opposer à la destruction méthodique du patrimoine industriel français.

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La GRS dénonce le licenciement de salariés de CORA Saint-Malo pour avoir refusé de travailler le dimanche

La grande distribution, en l’occurrence l’enseigne CORA, vient de démontrer de manière nauséabonde que le travail du dimanche n’était pas sur « la base du volontariat ».

Deux salariés bretons de l’enseigne Cora à Saint-Jouan-des-Guérets près de Saint-Malo ont été licenciés pour faute grave « sans préavis et sans indemnité » pour avoir simplement refusé de travailler le dimanche après 18 ans et 8 ans d’ancienneté.

Leur licenciement intervient alors qu’ils n’ont signé aucun avenant à leur contrat de travail prévoyant le travail dominical et que l’ouverture de leur magasin le dimanche n’a jamais été négociée avec les organisations syndicales. Il s’agit donc d’une décision unilatérale de l’employeur. Le motif du licenciement est l’insubordination, comme exposé dans une des lettres de licenciement : « Le code du travail prévoit que vous devez accepter de travailler quand on vous le demande »…?!

Cette interprétation impropre du code du travail amène ces salariés à porter l’affaire au tribunal des Prud’hommes avec l’aide de la CFTC. Le syndicat souligne que ce ne sont hélas pas des cas isolés puisque des employés d’autres entreprises auraient été licenciés ou poussés à la démission. Sans jugement exemplaire, le cas médiatisé de CORA pourrait ainsi créer une jurisprudence catastrophique pour les travailleurs de notre pays.

Nous espérons donc que le Conseil des prud’hommes condamnera CORA pour licenciement abusif et s’affranchira, comme d’autres tribunaux l’ont fait précédemment, de la barémisation et du plafonnement des indemnités introduits par la réforme du code du travail par ordonnances mise en œuvre en 2017 par le gouvernement Macron. En effet, cette disposition scandaleuse ouvre la voie à la multiplication des abus patronaux, certaines entreprises ne craignant plus d’être sanctionnées sévèrement si elles enfreignent le code du travail. Ces deux salariés devront être également réintégrés dans leur emploi. 

Il y a 150 ans, aujourd’hui jour pour jour, se déroulait la première la grève revendiquant le droit au repos dominical. Ce droit est une conquête importante du monde du travail. Le pôle Entreprises de la Gauche Républicaine & Socialiste rappelle son opposition au travail du dimanche. Le dimanche doit rester un jour de repos et de loisirs à partager. La Gauche Républicaine & Socialiste appelle donc à limiter les dérogations au code du travail.

La Gauche Républicaine & Socialiste continuera à lutter aux côtés des salariés contre la multiplication des ouvertures des grandes surfaces le dimanche, dans un secteur en crise où la pression exercée sur les salariés est très forte, notamment dans les zones rurales et périphériques. Notre parti poursuivra son action pour inscrire à nouveau dans la loi les protections auxquelles les salariés ont légitimement droit.

Contact :

    • Sébastien Lombard / 06 03 13 17 84
    • Didier Dague, responsable du pôle thématique entreprise / 06 26 15 25 03

 

Contre la loi Mobilités de Macron, vite une régulation pour les taxis et auto-écoles face à l’ubérisation !

Ce lundi 20 mai aura été marqué par une forte mobilisation sociale avec des opérations escargot menées par des taxis, des représentants d’auto-écoles et ambulanciers. A Paris, Toulouse ou encore Dijon les salariés et organisations voulaient faire entendre leurs revendications pour un « 1er round » contre la loi mobilités qui dérégule le secteur.

La manifestation organisée à proximité de l’Assemble Nationale visait à contester le contenu dérégulateur pour le secteur de la loi mobilités (LOM). En cause, plusieurs dispositions du projet de loi qui menacent directement les VTC, les ambulanciers et les auto-écoles. Concernant les taxis, c’est l’équilibre déjà précaire avec les VTC qui pourrait être mis à mal : désormais les voies de circulations réservées pourraient être ouvertes aux VTC et le stationnement sur la voie publique autorisé. Les ambulanciers sont eux menacés par les conséquences de la fin du remboursement des transports en ambulance par l’assurance maladie : désormais à la charge d’hôpitaux déjà exsangues, cela pourrait complètement asphyxier le secteur. Les autoécoles enfin pourraient être les nouvelles victimes de la lame de fond de l’ubérisation : les pistes proposées pour une réforme du permis de conduire conduiraient à favoriser les plateformes en ligne qui font appel à des moniteurs autoentrepreneurs, introduisant de fait une concurrence déloyale (pas d’obligation d’avoir un local, pas de cotisation sociale, pas de TVA,…).

Avec l’intersyndicale mobilisée du secteur (CFDT, CGT, Elite, FO, Sud) nous considérons que la loi LOM est une loi faite par et pour les plateformes. Les lois de 2014 et de 2016 doivent être enfin appliquées, dans l’intérêt même des chauffeurs VTX auxquels il faut garantir un statut protecteur et pérenne.

La Gauche Républicaine et Socialiste souhaite construire avec les acteurs du secteur une vraie loi de régulation et de protection pour mettre fin à l’extrême-marché qui abîme notre vie en commun. A travers ce combat, c’est une bataille bien plus large qui se joue contre les multinationales qui détiennent les plateformes numériques de mise en relation et contre la dérégulation de l’économie et de la société qui rabaisse nos standards sociaux, écologiques et économiques vers le bas. La concurrence n’est pas libre et le marché est un jeu de dupes pour les acteurs du système qui eux paient des licences et leur juste part d’impôt républicain.

Après Milan et avant le 26 mai, combattons l’extrême droite!

C’est un devoir de démasquer le Rassemblement National, l’événement des fascistes européens organisé ce week-end à Milan est un salutaire rappel, le scandale de corruption mettant lourdement en cause l’extrême droite autrichienne, allié du RN au niveau européen, en est un autre. Sa stratégie de dédiabolisation qui vise à la normalisation doit être stoppée car il s’agit bien d’un déguisement s’agissant de ce parti qui inscrit ses racines, son identité politique et son histoire dans le champ politique de l’extrême-droite française. Son projet, ses obsessions parlent d’elles-mêmes : jamais les salaires et la défense des droits sociaux mais toujours, du matin au soir sur les chaînes d’infos en continu, l’immigration, l’étranger, la conception xénophobe du cadre national, le refus de l’intégration républicaine et de la solidarité sociale. Tout est clair si au-delà de l’esbroufe on ouvre un œil lucide sur le fond projet politique du Rassemblement National.

Nous refusons le confortable et erroné qualificatif de populiste – raccourci paresseux employé par un nombre croissant de médias et de commentateurs dont les orientations politiques transparaissent grossièrement pour disqualifier tout ce qui ne serait pas libéral – appliqué à un parti qui se rassemble avec l’ensemble des forces politiques européennes xénophobes, racistes et antisémites que connait l’Union Européenne. Il est temps de sortir du déni et de cette contestation molle, appelons un chat un chat : le Rassemblement National est un parti faussement républicain qui charrie avec lui de vrais relents de fascisme. 

Le vrai projet du Rassemblement National c’est la fracturation de notre République pour conquérir le pouvoir et imposer une vision ethnique de la Nation sur fond d’un projet économique et social tout aussi libéral que celui d’Emmanuel Macron. Le travestissement des mots et l’instrumentalisation des paniques identitaires comme la captation des angoisses sociales réelles sont les marques de fabrique de la famille le Pen depuis des décennies. C’est une histoire de violence et de mépris, de haine et de rabaissement, à l’opposé d’une construction au service du peuple.

La Gauche Républicaine et Socialiste avec la liste France Insoumise-Maintenant le Peuple entend proposer le 26 mai une alternative réelle à ce parti d’extrême-droite, une alternative au service des classes populaires et moyennes. Notre projet est celui de républicains de conviction avec pour finalité la transformation sociale et écologique de notre pays et de l’Europe. Alors que le Rassemblement National propose de nous enfermer et de nous réduire dans le jeu de la compétition néolibérale entre nations nous souhaitons favoriser la coopération et la solidarité au service d’un progrès partagé en Europe. Alors le 26 mai, ne nous trompons pas de bulletin, votons Manon Aubry et Emmanuel Maurel avec la liste « La Voie de l’insoumission » pour un nouvel espoir dans notre pays et dans l’Union Européenne.

Biodiversité en danger : l’alarme avant le désastre !

L’écologie est définitivement incompatible avec le capitalisme.

Le rapport publié ce lundi 6 mai par la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques ne laisse plus de doute à ce sujet : la planète terre se dirige vers la sixième extinction de masse. Et nous pourrions connaitre dans un temps bien plus restreint ses effets sur notre propre capacité à vivre ou survivre à l’échelle de tout le globe. 

Un million d’espèces animales et végétales sont directement menacées de disparition si rien n’est fait pour arrêter le processus de destruction. Cette situation est tout autant alarmante que le réchauffement climatique. Les causes sont le fait de l’activité humaine et de l’emprise mondiale du système capitaliste et productiviste : surexploitation des ressources naturelles et destruction des habitats naturels, pollution de nos écosystèmes et dérèglement climatique liés à la non régulation effective du CO2 ainsi que de nos activités utilisant des énergies fossiles, impact terrible du commerce international dérégulé sur les écosystèmes.

Quelles perspectives ? 

La réponse à l’urgence écologique est désormais politique. Les annonces sauve-qui-peut et circonstanciées d’Emmanuel Macron dans la cour de l’Élysée ne trompent personne : la mine grave et le ton solennel ne feront pas oublier l’inaction de ce Gouvernement et l’impact dérisoires des mesures à la petite semaine. Par ailleurs sa volonté de déréguler l’aménagement commercial et de faciliter l’artificialisation des sols entre en contradiction avec ses propres annonces sur la protection des aires terrestres et marines.

Au niveau international, les États se retrouveront en 2020 en Chine, pour une nouvelle conférence mondiale autour de la biodiversité. La réponse apportée dorénavant ne peut être que la mise en œuvre d’un nouveau mode de développement soutenable pour nos écosystèmes. Ce qui suppose un juste partage de la richesse, l’encadrement des marchés et des capitaux au bénéfice des budgets alloués à la préservation et au maintien de la biodiversité. C’est au minimum par 20 que nous devrons multiplier nos efforts financiers chaque année pour sortir la planète et le vivant de cette spirale infernale. 

La Gauche Républicaine et Socialiste, parti du vivant, veut mettre en place une planification écologique à l’échelle des États qui doivent être réarmés face aux marchés afin de pouvoir sérieusement faire face à ce défi. Nous mettrons toutes nos forces dans la bataille pour que l’Union Européenne mette un terme aux politiques d’austérité budgétaire incompatibles avec le niveau d’ambition attendu pour la survie des espèces et de nos écosystèmes.

Nous avons besoin de vous !

Quelles que soient vos compétences, si vous touchez votre bille en droit, en bricolage, si vous aimez écrire, si vous êtes créatif… vous pouvez prendre part à des actions et ateliers près de chez vous ou encore nous envoyer vos vidéos, vos dessins pour des affiches etc.